De tous les détails qui l'érigent, sa taille est le plus manifeste. Harding est un homme rude, tout en muscles, à la large carrure et au ventre plat, qui dégage une impression de très grande puissance physique, du haut de ses presque sept pieds de haut, malgré le poids des ans. Ses épaules et ses bras, massifs comme des troncs d'arbre, sont à l’origine de bon nombre de ses surnoms… Bien des cicatrices zèbrent son derme tanné par le soleil et asséché par le sel, mais aucune n’accable son dos. Il tire grande fierté de ce fait signifiant qu'il n'a jamais fui un seul de ses combats.
Son visage rustre aux traits rêches et aux yeux d’ombre s’encadre d’une épaisse barbe décorée de rares ornements gravés de runes ainsi que d’une épaisse crinière de cheveux auburn tombant en cascade dans son dos. Rasé de près des tempes à la nuque, sa peau est là tatouée d’une encre délavée traçant une wyverne à la longue queue serpentine étouffant un ours et s’apprêtant à refermer sa gueule bardée d’immenses crocs sur un faucon lui faisant face.
Bien qu’Höfðingi, Harding hait s’afficher en supérieur et n’est que rarement drapé de riches et beaux vêtements. De mœurs austères pour ce qui est de son habillement, l’Insurgé se pare ordinairement de cuir sombre, d’étoffes ternes comme de fourrures obscures mais ne se trouve jamais aussi bien drapé que dans sa maille d’acier, ses plates sombres comme ses cuirs bouillis.
S’il porte toujours à sa hanche gauche Croc du Soleil l’épée forgée par Wiland Smidrson, trahissant ainsi le fait qu’il est droitier, son arme de prédilection reste une hache du meilleur acier à la lame gravée d’une wyverne. Le manche de bois flotté est vêtu à sa poignée d’un cuir rêche et de la lame pendent quelques lanières d’une peau de bête, négligemment attachées. Harding a nommé son macabre jouet la Tueuse d’Ennemis et ne s'en sépare que rarement. Enfin, l’Insurgé parachève son arsenal d’un bouclier rond frappé de ses armes personnelles : une main rouge, sanglante, sur champ noir.
557 - Naissance d’Harding, enfant robuste, issu des amours éphémères de Samr et d’une guerrière de Fálki.
560 - Quitte Fálki pour retrouver son père et vivre sur l’île de Snákr.
562 - Sa mère, tombe soudainement malade et finit par rendre l’âme dans sa chiasse après plusieurs jours d’une veine lutte. Harding ne l’apprendra que bien des années plus tard.
563 - Samr, son père, meurt au combat. Ce dernier étant un guerrier renommé et fidèle, l’enfant a été récupéré par le chef des Snákr, Tyr, qui entend l’éduquer comme son propre enfant.
566 - A force de rixes et d’escapades, il se lie d’amitié avec bon nombre de gosses des rues de Jarða qui, plus tard, deviendront pour bon nombre les « Gars d’Harding ».
572 - En compagnie de plusieurs autres jeunes hommes, dont quelques un de ses gars, Harding s’engage dans les montagnes pour satisfaire au rite de passage et chasser une Wyverne de Snákr. Il y tuera le second fils de son père adoptif et s’y fait la promesse de surpasser quiconque.
574 - Participe à son premier Tveirbinda. Naissance de son premier fils, Danheim, cette même année.
575 - A l’occasion du mariage du premier fils de l'Höfðingi, un Harding ivre tue un capitaine dont il s’approprie le navire et commande l’équipage. Il y gagne son premier surnom de
Bras-Rouge et vogue initier une série de Raids sur Gamall.
576 - Harding razzie sa première femme-écume, Corenna, qu’il ramène sur Snákr avec le fruit de ses pillages. Naissance d’un nouveau fils de ses ébats avec Corenna : Liegler.
577 - Danheim est envoyé à son père sur l’île de Snákr.
579 - Harding s’aventure seul dans les montagnes de Snákr et en revient juché sur le dos d’Himinhrjod -celui qui dévaste le ciel- jeune Wyverne déjà colossale capturée par ses soins.
580 - Wiland Smidrson façonne pour lui
Croc du Soleil, une épée de fer et d’aurum volcanique baignant la lame d’un feu ardent.
581 - Liegler comme Danheim sont touchés par le mal, la fièvre. Le premier y succombe, le second en gardera à jamais des séquelles que son père tentera d’ignorer.
582 - Courroucé alors que se multiplient fausses couches et enfants mort nés, Harding étrangle sa première femme-écume dans un excès de rage. Il participe à son second Tveirbinda quelques semaines plus tard. Naissance de son troisième fils, Wulfrik, cette même année.
584 - Participe à son troisième et dernier Tveirbinda. Naissance de sa première fille, Sighild, cette même année.
585 - Wulfrik est envoyé à son père sur l’île de Snákr.
586 - Harding razzie sa seconde femme-écume, Sherna.
587 - Alors que son père adoptif semble toujours indécis quant au nom de son héritier, Harding arme une importante expédition à la tête de
ses gars en vue de couvrir Snákr de richesses. C’est à cette occasion qu’il rencontre Torrhen et que tous deux se lient d’amitié.
588 - A leur retour sur Snákr, couverts de gloire et de richesses, Harding rencontre Elma, sœur de Torrhen, de près de dix ans sa cadette. Bien qu’elle soit promise à un autre, tous deux commencent à se fréquenter pour le lit. Parallèlement, il prend, par la force, à un Capitaine une esclave -Wynafrei- pour en faire sa troisième femme-écume.
590 - A l’occasion d’une rencontre en mer organisée pour qu’Harding rencontre sa fille, le Snákr enlève Sighild et tue sa mère Fálki après avoir lu une « étrange lueur » dans les yeux de son enfant.
592 - Lors d’un Raid sur Gamall, Danheim fuit plutôt que de se battre. Entré dans une colère noire, Harding le rosse dans d’atroces proportions et l’abandonne sur le continent sous prétexte que « les Snákr ne fuient pas » ! De ce raid, il emporte Elia comme quatrième femme-écume.
594 - A la fin de l’année, son père adoptif désigne son premier fils légitime comme successeur. Ayant toujours considère son « frère » comme un incapable, Harding commence à fomenter sa révolte.
595 - Par un subtil mélange de crainte, promesses et meurtres, Harding s’assure le soutien de bon nombre en vue de sa révolte pour s’emparer du pouvoir.
596 - Harding défie puis tue Père et Frères adoptif, non sans avoir déclenché une véritable guerre interne qui lui permet de devenir le nouveau responsable de l’île. Les remarques du Jarl glissent sur lui comme le sang glisse sur la lame de sa hache. En plus de l'Höfðingi et de son héritier, les soutiens d’Harding passent bon nombre d’indécis comme d’opposants à leur cause au fil de l’épée dans ce que l’on surnomme désormais avec crainte la
Nuit du Supplice. Débarrassé de son époux assassiné, Harding prend Elma pour femme officielle contre une dote qui termine d’assoir son pouvoir.
597 - Naissance du premier enfant de son union avec Elma : Sigvald, un fils.
599 - Naissance du second enfant de son union avec Elma : Eren, une fille.
601 - Naissance du troisième enfant de son union avec Elma : Árvakr, un fils.
602 - Naissance du quatrième enfant de son union avec Elma : Alsviðr, un fils.
603 - Après des mois d’absence où Snákr est laissée à la régence directe régence de Runolf et à la discrète d’Elma, Harding revient chargé de butin et d’une nouvelle femme-écume sur son île. Il se rend en compagnie de bon nombre de Snákr aux festivités mais ne participe guère au tournoi.
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Le sang se faisait boue dans la neige d’une Jarða incendiée. Au centre des combats, Harding se démenait comme une bête enragée. Chaque coup de sa hache trouvait le corps d’un ennemi dont la lame avait été repoussée par son armure d’acier cabossée. Là où la
Tueuse d’Ennemis fauchait les combattants de ses éclats d’un terne argent, ses partisans poussaient des cris de rage, semblant habités d’une colère inextinguible. Tout flageolant, l’
Insurgé étreignit plus étroitement la hampe de son arme et en savoura l’âpre contact. "
En avant !" Samrson taillait vivement de gauche à droite, portant tout le poids de son corps dans chacun de ses coups. Le sang jaillit entre les frusques et chacune de ses gouttes, en touchant le sol, maculait la neige d’un rouge ardent. Dans un geste abominable, sa hache se leva et retomba pour une froide boucherie. Sa lame tranchait dans la chair et les os comme elle l’eut fait dans la soie. Plus que décombres était le visage de ce pauvre combattant dressé sur sa route. "
A la longère !!"
Déjà, une dague volait vers son poitrail mais elle fut déviée par son rond bouclier frappé de d’une main rouge, sanglante. D’un revers de bras, le colosse de Snákr repoussa l’assaillant à l’effarante jeunesse, décidé à l’épargner pour cet acte d’authentique audace. Mais c’est en hurlant de façon démente qu’il plongea à nouveau vers lui, tout juste cueilli par un revers de hache écarlate qui mit un terme à sa vie. Harding mira le pauvret gisant désormais face contre terre dans la boue. A le voir couché comme ça, mort, il se rendait mieux compte de sa jeunesse. Un gosse.
Dans quelques années, tu aurai offert un beau combat, songea t’il avant de cracher aux pieds de mouflet, comme pour saluer son toupet. Son cri de ralliement tonna dans le tumulte des affrontements et le rugissement d’
Himinhrjod s’en fit l’écho avant que la créature ne fonde dans la foule, traçant un sillon sanglant dans les rangs des opposants. La voie était tracée jusqu’à la longère !
Le guerrier jeta un coup d’œil maussade en direction du trône où son père adoptif était installé, un silence glacial se faisant à son entrée. Il souffla rauquement des nasaux, penchant la tête pour ne guère heurter les poutres et laissa choir son bouclier au sol. "
Père bien-aimé… Frères bien-aimés… !" Leur grogna t’il sans desserrer les dents. Tous trois le miraient avec plus de dégout que ne pouvaient contenir leurs yeux. "
Enfant impertinent ! J’aurai dû te laisser mourir dans les rues… !" "
Peut-être bien, lui renifla t’il avec mépris.
T’aurai surtout pas dû désigner cet incapable !" D’un mouvement de hache, Harding désigna l’héritier. Debout, son frère était grand et puissamment musclé.
Mais pas assez ! Face à lui, Harding éclata d’un rire rauque et gras.
"
Y a quoi d’si putain d’marrant ?" Bras-Rouge ne jeta même pas l’ombre d’un coup d’œil vers son second frère qu’il avait toujours estimé comme un braillard. "
Si j’avais eu envie que tu le saches, j’te l’aurais dit !" Ses deux frères semblèrent bouillonner de la réponse et s’avancèrent à l’unisson. L’
Insurgé se racla grassement la gorge et cracha à leurs pieds un glaviot de dégout. S’ils avaient eu à en douter un instant, tous savaient désormais que l’affaire se solderait par le fer comme par le sang. Et puis, tout sembla bien se produire à la fois.
Harding se mettant en garde, ses frères tirant leurs armes et la main de leur père qui lançait un éclair d’argent à travers la salle. L’
Insurgé n’aurait pas bougé, la hache de jet te lui partageait la pomme du gosier ! Mais elle ne fit que lui frôler les côtes et Harding se mit à rigoler, d’un rire aussi froid et creux que s’il surgissait du fin fond d’un puit. Raflant une des dagues de jet à sa ceinture, le géant la lança à la figure de son père adoptif, l’atteignit en pleine poitrine et te l’envoya balader les quatre fers en l’air ! Là-dessus, Harding tira
Croc du Soleil hors de son fourreau. Une flamme d'un doigt de long clignota sur la pointe et, remontant le fil, embrasa la lame d’une langue de feu dont la lueur blafarde fit reculer le noir et anima l’armure d’Harding de mouvants éclats mordorés. L’héritier se montrait un adversaire aussi rude que méthodique, n’arrêtant pas de le harceler en le forçant à reculer grâce à la précision des frappes brutale de sa lame. Au hasard d’une parade mal assurée, le côté droit de sa figure ruissela de rouge, depuis la tempe jusqu’à la joue … Ce qui eut l’air de le mettre en rogne ! Il repoussa son frère par un assaut furieux, le martelant sans trêve de ses lames. Et là-dessus, le braillard bondit sur lui avec une prestesse de serpent. Va-t’en savoir comment, tous deux finirent par l’acculer dans un angle, derrière un banc. Harding pissait le sang et haletait comme un énorme soufflet de forge.
"
Jette tes armes !" Souffla son frère. Ça eut le don de l’énerver, même pas un vrai guerrier ! "
Si tu m’veux, viens m’prendre !" D’un poussée, il se détacha du mur et se carra derrière le banc, cognant ses armes l’une contre l’autre avant de s’en barrer le torse. "
Tu crois qu’on va pas ? Tu tiens à peine debout !" Epaules basses, l’
Insurgé grogna : "
Ca s’peut !" Puis son pied partit, droit dans le banc, l’expédiant massacrer les tibias de l’héritier. Le braillard parvint, va savoir comment, à ne pas perdre l’équilibre mais le colosse de Snákr se coula dans un revers vicieux. Le sang éclaboussa les murs et le plafond. La lame l’avait pris en pleine gueule et quand Harding l’en retira, la moitié de la tête suivit. L’héritier battit en retraite, rampant avec une odeur de peur. Il fut vite sur lui, le désarmant d’un bras colossal. "
Pour pas qu’tu vois !" Grogna t’il en lui jetant son bras libre au visage, lui enfonçant dans les yeux ses doigts d’acier. "
Pour pas qu’tu piaules !" Tonna t’il en lui enfonçant violemment son poing dans la bouche, lui ravageant les chicots. "
ET POUR QU’TU CREVES !" Rugit il en brandissant son énorme poing barbouillé de sang. Il s’abattit une fois, deux fois, trois fois, tant et tant de fois… Le bruit d’écrasement fut abominable. Un silence de mort planait sur la longère lorsqu’Harding se releva, son bras gouttant de rouge jusqu’au coude. Des yeux, il chercha son épée et l’empoigna d’une main ferme avant de se tourner vers son père, toujours à terre.
"
C’est terminé, Père bien-aimé..." Grogna-t-il dans un râle. Son souffle était court, sa poitrine musculeuse se soulevant régulièrement alors qu’il cherchait sa propre respiration. Au sol, l’ancien le regardait avec des yeux demandant la pitié. Harding n’en avait aucune. "
A trois ils auraient peut-être eu une chance…" Cela raviva des souvenirs propre à l’enfance et le vieillard sembla écraser une larme en se remémorant son second-né mort dans les montagnes. Bientôt, il le rejoindrait… Mais Harding avait pour son père adoptif une dernière confidence. "
Maintenant, je peux bien te dire ce qu’il s’est passé, alors…" Le sourire de l’
Insurgé eut toute la succulence d’un beurre ranci alors qu’il se penchait vers son père pour confesser son histoire. "
Nous chassions cette foutu Wyverne quand la tempête nous a surpris. Ton idiot d’enfant nous a commandé de nous réfugier dans ces grottes et sa bêtise nous a tous offert aux Arachnomorph !" Etait-ce la curiosité ou bien l’éclat de
Croc du Soleil qui faisait ainsi pétiller les yeux du mourant ?
"
Dans notre lutte, nous fûmes séparés mais une fois ces créatures écrasées j’ai fini par le retrouver. Seul." La confession fut murmurée dans un grincement de dents. "
Alentour, nos camarades. Tous morts. Mais je reconnaissais bien là ton fils, survivant face à la nuée et couvert de sang, geignant sa peine de n’avoir pu que les venger…" D’un geste vif, Harding retira sa dague de jet et l’Höfðingi bulla un peu de sang. "
Mais en observant, j’ai bien compris… Les chairs tranchées et le sang sur son épée. C’est ton enfant qui, dans sa fureur, les avait tous exterminés. Et c’était le sang de ses victimes, et non le siens, qui recouvrait son corps !" Une rage, sourde, anima la voix de Bras-Rouge. "
J’aurai voulu le défier pour son crime et venger mes camarades ! Mais j’étais blessé et il avait toujours été plus fort que moi… Et le voyant partir sans même un regard pour nos amis dont il avait pris la vie, j’ai choisis la facilité et l’ai frappé de mon épée !" L’Höfðingi allait hurler à la lâcheté mais son cri se mua en une plainte atroce quand le colosse de Snákr plongea la lame brulante de
Croc du Soleil dans ses entrailles. Souriant à la confession de se déshonneur qui l’avait mué en implacable tueur, Harding prit enfin la vie de son père. Par le feu et par le fer !
- Au fil des ans, bien des faits d’arme et anecdotes drapèrent Harding de titres et surnoms. Il hérita de celui de Bras-Rouge lors qu’il clama son premier navire en ravageant de son poing la tête de son capitaine jusqu’à ce qu’il ne reste que débris de son visage et que son bras goutte de rouge. Il entretient ce titre en plongeant çà et là son bras dans le ventre de ses victimes pour en retirer les entrailles de son poing pris dans son gantelet à l’écrevisse d’acier ! Il y rafla celui de Prompte-Hache dans ses sanglants pillages sur les côtes de Gamall où la tueuse d’ennemis faucha tant et tant de continentaux. L’Insurgé fut gagné lorsqu’il prit le pouvoir sur Snákr, Dernière Ombre lorsqu’il assaillit une bourgade depuis les cieux juché sur Himinhrjod, le Marche-Monde pour ses raids et pillages innombrables, Eclair-de-Feu lorsqu’il initia le maniement de Croc du Soleil, Souffleur d’Orage pour la puissance de ses poumons, l’Ardent, l’Epoux-de-Sirène, le Fléau-de-Trolls… Tant d’autres demeurent, encore… ! A défaut d'être exhaustif, il convient de mentionner les sobriquets de Paricide et Fratricide que peu de fous osent, toutefois, employer face à Harding.
- Son Drakkar personnel, auquel il porte un amour immodéré, se nomme le Voiles Noires. Il est deux fois plus imposant qu’un navire classique, avec une coque profonde et un éperon féroce. Ses voiles ont la noirceur d’un ciel nocturne sans étoiles. À sa proue se trouve une Wyverne de bois flotté hurlante aux écailles de fer noir.
- Le vaisseau est le navire amiral des Snákr et, avant cela des « Gars d’Harding », une bande de Drakkar acquis par le sang comme par le fer et, désormais, tous passés sous le commandement d’hommes de l’Insoumis en qui il a toute confiance ayant grandi, razzié et s’étant révolté avec eux. S’ils s’assemblaient souvent par le passé pour des opérations de pillage et de razzia, ces pratique sont bien moins courantes. On compte parmi eux le Vatn-Triomphant, le Fol Espoir, le P’tit Pourceau, le Danse-pour-moi, le Croc des Mers et la Putain Guerrière.
- Himinhrjod est désormais une Wyverne aussi imposante qu’il est permis de l’être, dans la force de l’âge. Extraordinairement féroce et aussi brutale que caractérielle, elle a toutefois tissé un lien étrange avec son maitre avec lequel elle se montre particulièrement docile. La chevauchant majoritairement au combat, Harding délègue le commandement de son vaisseau à un Capitaine de son choix, ce qui est considéré comme un grand honneur.